Deux litres d’acqua frizzante (eau pétillante) bus cul sec après une longue marche dans le village !

Le mini-musée qui reconstitue la vie d’antan dans les sassi. L’obscurité, l’humidité de la grotte et la bande-son… dans son jus mettent bien dans l’ambiance ! Point bonus pour les bruitages de l’âne qui braie et du bébé qui pleure.

Le pont tibétain au fond de la vallée, sur la rivière Gravina. Nous avons entrepris de nous y rendre après le déjeuner, mais l’orage grondait et un gentil randonneur croisé en chemin nous a déconseillé d’aller plus loin (et il a regardé mes sandales d’un air désapprobateur en murmurant vipere)…

Le pont tibétain, Matera en arrière-plan

Celle qui nous choppe au vol lorsqu’on arrive sur la place Vittorio Veneto.

Vue sur les sassi sous le soleil de midi

Le randonneur que l’on recroise à la terrasse d’un café et qui s’embarque dans un long monologue en italien mâtiné d’anglais, d’espagnol et de français sur son amour de la région.

Nous avons assisté à une sortie de mariage sur les coups de 18h, sur le parvis de l’église Saint-François d’Assise. Dames et messieurs rivalisaient d’élégance bariolée, il nous a bien fallu ce spectacle pour endurer l’attente des mariés qui ne sortaient pas ! Ils ont finalement été reçus sous un tonnerre d’applaudissement qui devança les gros nuages noirs.

Vive les mariés !

20min que je me remue les méninges et je ne sais pas quoi écrire. L’histoire de Matera est si riche, on parle ici de la troisième plus vieille ville du monde tout de même ! Les premières traces d’habitation datent du Paléolithique (première période de la Préhistoire), c’est dire si les collines en ont vu, des choses. Pour celles et ceux que l’histoire de la ville intéresse, voici deux sites qui donnent un assez bon aperçu du passé vertigineux de Matera.

Vue de la place Vittorio Veneto

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